Livraison du bateau
Ce week-end n’est pas seulement un long week-end, c’est un grand week-end ! Nous “réceptionnons” Seaview et le prenons en main.
Les filles sont confiées aux bons soins de leur grand-mère maternelle et de leur tante puis de leurs grands-parents paternels.
Direction la Rochelle, le Port des Minimes où nous avons donné rendez-vous à Daniel, le Père de Jules.
Daniel a cinquante ans de voile à son actif, et plus de vingt ans à la tête de Voiles & Voiliers. Il navique depuis dix ans autour de la Méditerranée. Fidèle à l’Odyssée, il retrace le périple d’Ulysse. La voile n’a aucun secret pour lui. Depuis quelques mois, il nous conseille et nous encourage dans notre projet. C’est vraiment rassurant de bénéficier de son expérience et de son expertise. Daniel nous accompagnera d’ailleurs durant les 15 jours de transatlantique.
Ce matin-là, depart de Paris à 5h30. Nous avons rendez-vous aux Minimes à 10h30. Vers 9h, le chantier nous appelle pour nous prévenir que le départ de l’Hermione a retardé la préparation du bateau. Le rendez-vous est décalé d’une heure. Le temps d’un café sur le port, Jules ne tient plus en place, il se lève, va et vient, observe le mat de Seaview qui pointe parmi la forêt dense de mâts à l’horizon. A peine le temps de finir mon café, il me lance un “on y va ?” comme un enfant pressé.
Daniel nous rejoint sur le parking, on discute, on bouquine… le bateau est apprêté, enfin.
Moment d’émotion lorsque nous montons pour la première fois sur Seaview. Ca y est, des mois qu’on en rêve, qu’on le projette et qu’on le “scanne” – Jules doit connaître le cahier technique de l’Open 40 par coeur.
Et nous voilà partis pour quelques heures de “dissection” du bateau. La réception consiste à réaliser avec le chantier un état des lieux détaillé. Il en résultera une liste plutôt conséquente des WIP.
Les jours suivants, nous commençons l’aménagement du bateau. La cargaison amassée sur le ponton 20 semble conséquente (l’équivalent d’un grand Espace frété du sol au plafond – Merci Cécile ;) Mais finalement, tout rentre… il reste même de la place dans les placards !
Puis, opération bricolage et matelotage avec Daniel – notamment comment lover un long bout à la façon d’Isabelle Autissier (sur un winch) - et premiers tests moteurs et voiles. Seaview nous offre une pointe à 12 noeuds. Pour une première sortie, c’est prometteur.
Les filles sont confiées aux bons soins de leur grand-mère maternelle et de leur tante puis de leurs grands-parents paternels.
Direction la Rochelle, le Port des Minimes où nous avons donné rendez-vous à Daniel, le Père de Jules.
Daniel a cinquante ans de voile à son actif, et plus de vingt ans à la tête de Voiles & Voiliers. Il navique depuis dix ans autour de la Méditerranée. Fidèle à l’Odyssée, il retrace le périple d’Ulysse. La voile n’a aucun secret pour lui. Depuis quelques mois, il nous conseille et nous encourage dans notre projet. C’est vraiment rassurant de bénéficier de son expérience et de son expertise. Daniel nous accompagnera d’ailleurs durant les 15 jours de transatlantique.
Ce matin-là, depart de Paris à 5h30. Nous avons rendez-vous aux Minimes à 10h30. Vers 9h, le chantier nous appelle pour nous prévenir que le départ de l’Hermione a retardé la préparation du bateau. Le rendez-vous est décalé d’une heure. Le temps d’un café sur le port, Jules ne tient plus en place, il se lève, va et vient, observe le mat de Seaview qui pointe parmi la forêt dense de mâts à l’horizon. A peine le temps de finir mon café, il me lance un “on y va ?” comme un enfant pressé.
Daniel nous rejoint sur le parking, on discute, on bouquine… le bateau est apprêté, enfin.
Moment d’émotion lorsque nous montons pour la première fois sur Seaview. Ca y est, des mois qu’on en rêve, qu’on le projette et qu’on le “scanne” – Jules doit connaître le cahier technique de l’Open 40 par coeur.
Et nous voilà partis pour quelques heures de “dissection” du bateau. La réception consiste à réaliser avec le chantier un état des lieux détaillé. Il en résultera une liste plutôt conséquente des WIP.
Les jours suivants, nous commençons l’aménagement du bateau. La cargaison amassée sur le ponton 20 semble conséquente (l’équivalent d’un grand Espace frété du sol au plafond – Merci Cécile ;) Mais finalement, tout rentre… il reste même de la place dans les placards !
Puis, opération bricolage et matelotage avec Daniel – notamment comment lover un long bout à la façon d’Isabelle Autissier (sur un winch) - et premiers tests moteurs et voiles. Seaview nous offre une pointe à 12 noeuds. Pour une première sortie, c’est prometteur.
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