Antigua
St John - Antigua
01/03/16
St John vit au rythme des bateaux de croisière. Choisissez de préférence un jour où les cruising ships désertent la capitale, la découverte de la ville n'en sera que plus agréable. Ce jour-là, ils étaient trois amarrés à l'Héritage Quay et au Redcliff Quay. Ils arrivent au petit jour et repartent entre 16h30 et 18h30, la ville soudain se vide et s'endort. Seuls deux restaurants sont ouverts le soir dans la capitale !
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Heritage Quay, sous ses airs de "La Vallée Village" (en beaucoup moins bien) propose des boutiques de marques en duty free. De l'autre côté, Redcliff Quay investit l'un des quartiers les plus anciens de Saint John et compte quelques charmantes maisons traditionnelles réhabilitées autour du Café Napoléon.
Le quartier attenant aux deux quais est saturé de touristes mais dès que l'on s'en éloigne, la vie reprend son cours, plus authentique.
Halte appréciée au Banana Café pour leur excellente pina et virgin colada - la meilleure dans notre classement depuis deux mois que nous sommes aux Antilles !
Face à la gare routière, le marché couvert Heritage Market vaut le détour. On s' y attarde avec Sandrine pour faire le plein de fruits et légumes.
C'est déjà l'heure des aux-revoir. Il faudra patienter quelques mois avant de se retrouver. En attendant, on écoute en boucle "96 degrees in the shade", "seven years" et "come".
Que de chouettes souvenirs durant ces huit jours. Merci à tous les quatre de nous avoir rendu visite et à très vite !
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Heritage Quay, sous ses airs de "La Vallée Village" (en beaucoup moins bien) propose des boutiques de marques en duty free. De l'autre côté, Redcliff Quay investit l'un des quartiers les plus anciens de Saint John et compte quelques charmantes maisons traditionnelles réhabilitées autour du Café Napoléon.
Le quartier attenant aux deux quais est saturé de touristes mais dès que l'on s'en éloigne, la vie reprend son cours, plus authentique.
Halte appréciée au Banana Café pour leur excellente pina et virgin colada - la meilleure dans notre classement depuis deux mois que nous sommes aux Antilles !
Face à la gare routière, le marché couvert Heritage Market vaut le détour. On s' y attarde avec Sandrine pour faire le plein de fruits et légumes.
C'est déjà l'heure des aux-revoir. Il faudra patienter quelques mois avant de se retrouver. En attendant, on écoute en boucle "96 degrees in the shade", "seven years" et "come".
Que de chouettes souvenirs durant ces huit jours. Merci à tous les quatre de nous avoir rendu visite et à très vite !
Comments
Mouillage Deep bay - Antigua
29/02/16
L'intérêt de ce mouillage est d'être à proximité de la capitale St John où il était facile pour nos amis de repartir vers l'aéroport. Nous avions pensé au départ mouiller dans le port au pied des ferrys, mais il nous fallait un sas de décompression après Spanish point!
Le mouillage est bien abrité des vents et de la houle et se fait dans 2/3m d'eau, sur un fond de sable, devant une belle plage. L'eau est très sablonneuse (donc trouble). Malheureusement, la vue est un peu gâchée au Sud par un hôtel qui a du avoir ses heures de gloire il y a bien longtemps,
Pour prendre un taxi et se rendre à St John (10mn), demandez à la réception de l'hôtel, même si le manager n'aime pas trop que les plaisanciers rentrent dans son établissement juste pour cela (en plus en tongues avec des bidons d'essence à la main :) ). Sinon, il faut prendre la route au nord de la baie pour éviter l'hôtel.
St John ne vit que par les cruising boats qui déversent des milliers de touristes pour la journée. On y trouve des boutiques de marque détaxées et heureusement un très beau marché bien achalandé à l'extérieur de cette zone surfaite.
Pour les formalités, les douanes sont aux pieds des ferrys le long du quai, mais les bureaux du port sont à plus de 30mn à pied dans un endroit assez paumé vers le nord.
A Non such Bay
26/02/16
La vie est douce à Non such Bay. Si douce que Mathilde, Clémence, Manon et Camille improvisent une danse du bonheur sur le trampoline, on gonfle le paddle et Jules sort son kite.
Pour les enfants, assis sur les jupes de Siminoe et Mimosa, le jeu consiste à taper dans la main de Jules à chaque passage en kite.
Sandrine adopte la "Bar-Budha" zen attitude tandis que Christophe défie les filles sur le paddle.
On ressort nos perruques afro pour une soirée mémorable et "96 degrees in the stade" est proclamée hymne de la semaine par le cousin Bob.
Le lendemain, les quatre filles se lancent dans un atelier bois flotté. Clémence et Camille poncent leur bambou à l'aide d'une feuille de verre à l'arrière du bateau.
Puis la peinture succède au ponçage. Le résultat est à la hauteur de l'investissement des M2C2 ;) Mathilde nous offre un "Seaview" qui trouve naturellement sa place dans le carré.
Au coucher du soleil, rendez-vous est donné sur la petite plage de la baie avec les équipages de Tsaelou, Sequoïa, Siminioe et Mimosa pour un apéro-playa. Les enfants entament leurs 37ème (43ème, 56ème ??) partie de Loup Garou… Sans le savoir, ce sera notre dernière soirée avec Tiphaine et JB de Sequoïa qui partiront prématurément quelques jours plus tard vers le sud (météo oblige) pour passer le canal de Panama et continuer leur tour du monde. Nous nous suivons depuis cinq mois maintenant et leur souhaitons bon vent pour rejoindre le Pacifique!
Pour les enfants, assis sur les jupes de Siminoe et Mimosa, le jeu consiste à taper dans la main de Jules à chaque passage en kite.
Sandrine adopte la "Bar-Budha" zen attitude tandis que Christophe défie les filles sur le paddle.
On ressort nos perruques afro pour une soirée mémorable et "96 degrees in the stade" est proclamée hymne de la semaine par le cousin Bob.
Le lendemain, les quatre filles se lancent dans un atelier bois flotté. Clémence et Camille poncent leur bambou à l'aide d'une feuille de verre à l'arrière du bateau.
Puis la peinture succède au ponçage. Le résultat est à la hauteur de l'investissement des M2C2 ;) Mathilde nous offre un "Seaview" qui trouve naturellement sa place dans le carré.
Au coucher du soleil, rendez-vous est donné sur la petite plage de la baie avec les équipages de Tsaelou, Sequoïa, Siminioe et Mimosa pour un apéro-playa. Les enfants entament leurs 37ème (43ème, 56ème ??) partie de Loup Garou… Sans le savoir, ce sera notre dernière soirée avec Tiphaine et JB de Sequoïa qui partiront prématurément quelques jours plus tard vers le sud (météo oblige) pour passer le canal de Panama et continuer leur tour du monde. Nous nous suivons depuis cinq mois maintenant et leur souhaitons bon vent pour rejoindre le Pacifique!
Mouillage Non such bay - Antigua
25/02/16
Cette baie, que nous avions découverte il y a 20 ans, faisait partie de mes meilleurs souvenirs: un mouillage juste derrière une large barrière de corail, en plein vent, dans une eau bien verte.
Nous avons mouillé au vent de Green island, par 2m d'eau, mais il y a maintenant aussi des bouées pour s'amarrer derrière, à l'abri du vent mais dans une eau moins claire.
Une sorte de petit Tobago avec seulement 4 bateaux au vent (dont 3 bateaux-copains). Même avec 15nds de vent, le clapot reste très faible: la barrière joue mieux son rôle qu'aux Tobago Cays.
L'endroit est fabuleux pour le kite et même s'il y a maintenant une école qui vient de la côte en bateau à moteur tous les jours, on est peu dérangé par les autres :)
Pour sortir de la baie et aller vers Barbuda, nous avons pris la passe Nord qui est assez large. Mais attention aux cartes électroniques qui sont un peu décalées.
Antigua - English Harbour
24/02/16
English Harbour porte bien son nom. La présence des Anglais pendant plus de trois siècles a fait d'Antigua une île très "british". Bastion de la force navale britannique dans les West Indies au 18ème siècle, English Harbour fut notamment le repaire des navires de l'Amiral Rodney.
C'est ici que nous avons rendez-vous avec nos amis Sandrine et Christophe, et leurs filles Mathilde et Clémence, pour passer une semaine ensemble à bord de Seaview. C'est ici aussi que nous retrouvons l'équipage de Mimosa que nous avions quitté un mois et demi plus tôt.
Le port et l'arsenal Nelson Dockyard furent abandonnés par la Royal Navy fin 19ème et rénovés dans les années 50. Le quartier des officiers et l'ancien Arsenal, reconverti en hôtel, illustrent l'histoire de l'île.
Les Dockyard Pilars, piliers en pierre du chemin de halage et les anciens ateliers, investis par le cossu Admiral Inn, valent le détour. Manon tentera tant bien que mal de faire son évaluation d'anglais en ligne avec une connexion internet - une fois de plus - très aléatoire et de surcroit, la plateforme en ligne du Cned plante…
Keep cool and carry on, nos amis arrivent ce soir, ne gâchons pas cette belle journée.
Après une journée et demie de voyage depuis Paris, Sandrine et Christophe, Mathilde et Clémence débarquent à la nuit tombante sur Seaview. Les retrouvailles - attendues depuis huit mois - sont euphoriques. Le lendemain, on flâne dans English Harbour entre filles alors que les hommes retournent à l'aéroport chercher l'hydrogénérateur, resté en pension chez les douaniers pour la nuit. Sandrine et Christophe avaient essuyé la veille un interrogatoire de la douane qui avait finalement demandé à voir l'un des propriétaires du bateau… Sympa les amis, non seulement ils endurent plus de 36 heures de voyage pour nous retrouver, se lestent d'un colis d'un mètre cinquante mais, en plus, ils subissent à deux reprises l'inquisition des douaniers.
Après les hangars de la douane, un détour par le Ministère des Finances à St John s'impose pour récupérer le tampon qui va bien… Trois heures plus tard, les hommes reviennent avec LE colis. Un hydrogénérateur, ça se mérite ! L'engin va nous permettre de gagner en autonomie énergétique. Une fois installée à l'arrière d'une des jupes du bateau, l'hélice de l'hydro produira de l'énergie et rechargera les batteries lorsque nous serons en navigation. Un compliment aux panneaux solaires, surtout quand le soleil se fait timide. On peut, à l'avenir, espérer dé-scotcher nos yeux du tableau de conso Ampères/Heure.
Pour autant, le volume de l'hydrogénérateur ne semble pas avoir découragé Sandrine et Mathilde qui ont dévalisé la maison de la presse et nous apportent plusieurs kilos de nourritures terrestres, de quoi se faire une boulimie de presse française !
English Harbour est empreint d'une forte culture maritime. Tout ici transpire l'esprit marin. Les enseignes, les voileries, le spectacle qu'offrent les équipages professionnels et même les T-shirts clamant les mariners' rules ("The captain is always right and I am the captain" dont s'entichera Jules).
On assiste à l'arrivée d'une manche de régate, majestueuse. La marina est rompue à ce type de course puisqu'elle accueille l'Antigua Sailing Week qui regroupe chaque année une centaine de bateaux de 24 à 100 pieds (http://www.sailingweek.com).
Ici, petits et gros bateaux co-habitent, et les gros peuvent être vraiment très gros. Le nôtre prend des airs de "bateau Playmobile" à coté des monocoques de 30 à 40 mètres et des yachts qui rivalisent par leur taille, leur coque lustrée, leurs antennes, leurs équipements en carbone. On déambule sur les quais en observant les équipages en uniforme s'activer - silencieux, pro, efficaces. Le soir, du mouillage Freeman Bay, on assiste au bal des lumières organisé par les yachts d'English Harbour. La marina prend alors des airs de centrale électrique : on n'a pas tous les mêmes soucis d'économie d'énergie !
Nous assisterons aussi à l'arrivée de deux candidats de la course Talisker Whisky Atlantic Challenge qui consiste à traverser l'Atlantique à la rame (https://www.taliskerwhiskyatlanticchallenge.com/latest-news/). Les deux coureurs, qui arrivent ce soir-là, ont rallié 3000 miles en 66 jours de mer (sans escale bien sûr). Ils ont ramé quotidiennement 10 heures, grillé 8000 calories par jour, perdu une vingtaine de kilos. Epuisés, asséchés mais heureux d'avoir performé. Dans la nuit noire, l'arrivée des candidats est saluée par une corne de brume et des fumigènes. A bord de Seaview, on applaudit et l'on se met à crier "Bravoooo" pour saluer l'exploit hors norme. L'émotion est palpable. On mesure ce que représente une transat à la voile, on imagine les efforts herculéens pour effectuer une traversée de l'Atlantique à la rame.
C'est ici que nous avons rendez-vous avec nos amis Sandrine et Christophe, et leurs filles Mathilde et Clémence, pour passer une semaine ensemble à bord de Seaview. C'est ici aussi que nous retrouvons l'équipage de Mimosa que nous avions quitté un mois et demi plus tôt.
Le port et l'arsenal Nelson Dockyard furent abandonnés par la Royal Navy fin 19ème et rénovés dans les années 50. Le quartier des officiers et l'ancien Arsenal, reconverti en hôtel, illustrent l'histoire de l'île.
Les Dockyard Pilars, piliers en pierre du chemin de halage et les anciens ateliers, investis par le cossu Admiral Inn, valent le détour. Manon tentera tant bien que mal de faire son évaluation d'anglais en ligne avec une connexion internet - une fois de plus - très aléatoire et de surcroit, la plateforme en ligne du Cned plante…
Keep cool and carry on, nos amis arrivent ce soir, ne gâchons pas cette belle journée.
Après une journée et demie de voyage depuis Paris, Sandrine et Christophe, Mathilde et Clémence débarquent à la nuit tombante sur Seaview. Les retrouvailles - attendues depuis huit mois - sont euphoriques. Le lendemain, on flâne dans English Harbour entre filles alors que les hommes retournent à l'aéroport chercher l'hydrogénérateur, resté en pension chez les douaniers pour la nuit. Sandrine et Christophe avaient essuyé la veille un interrogatoire de la douane qui avait finalement demandé à voir l'un des propriétaires du bateau… Sympa les amis, non seulement ils endurent plus de 36 heures de voyage pour nous retrouver, se lestent d'un colis d'un mètre cinquante mais, en plus, ils subissent à deux reprises l'inquisition des douaniers.
Après les hangars de la douane, un détour par le Ministère des Finances à St John s'impose pour récupérer le tampon qui va bien… Trois heures plus tard, les hommes reviennent avec LE colis. Un hydrogénérateur, ça se mérite ! L'engin va nous permettre de gagner en autonomie énergétique. Une fois installée à l'arrière d'une des jupes du bateau, l'hélice de l'hydro produira de l'énergie et rechargera les batteries lorsque nous serons en navigation. Un compliment aux panneaux solaires, surtout quand le soleil se fait timide. On peut, à l'avenir, espérer dé-scotcher nos yeux du tableau de conso Ampères/Heure.
Pour autant, le volume de l'hydrogénérateur ne semble pas avoir découragé Sandrine et Mathilde qui ont dévalisé la maison de la presse et nous apportent plusieurs kilos de nourritures terrestres, de quoi se faire une boulimie de presse française !
English Harbour est empreint d'une forte culture maritime. Tout ici transpire l'esprit marin. Les enseignes, les voileries, le spectacle qu'offrent les équipages professionnels et même les T-shirts clamant les mariners' rules ("The captain is always right and I am the captain" dont s'entichera Jules).
On assiste à l'arrivée d'une manche de régate, majestueuse. La marina est rompue à ce type de course puisqu'elle accueille l'Antigua Sailing Week qui regroupe chaque année une centaine de bateaux de 24 à 100 pieds (http://www.sailingweek.com).
Ici, petits et gros bateaux co-habitent, et les gros peuvent être vraiment très gros. Le nôtre prend des airs de "bateau Playmobile" à coté des monocoques de 30 à 40 mètres et des yachts qui rivalisent par leur taille, leur coque lustrée, leurs antennes, leurs équipements en carbone. On déambule sur les quais en observant les équipages en uniforme s'activer - silencieux, pro, efficaces. Le soir, du mouillage Freeman Bay, on assiste au bal des lumières organisé par les yachts d'English Harbour. La marina prend alors des airs de centrale électrique : on n'a pas tous les mêmes soucis d'économie d'énergie !
Nous assisterons aussi à l'arrivée de deux candidats de la course Talisker Whisky Atlantic Challenge qui consiste à traverser l'Atlantique à la rame (https://www.taliskerwhiskyatlanticchallenge.com/latest-news/). Les deux coureurs, qui arrivent ce soir-là, ont rallié 3000 miles en 66 jours de mer (sans escale bien sûr). Ils ont ramé quotidiennement 10 heures, grillé 8000 calories par jour, perdu une vingtaine de kilos. Epuisés, asséchés mais heureux d'avoir performé. Dans la nuit noire, l'arrivée des candidats est saluée par une corne de brume et des fumigènes. A bord de Seaview, on applaudit et l'on se met à crier "Bravoooo" pour saluer l'exploit hors norme. L'émotion est palpable. On mesure ce que représente une transat à la voile, on imagine les efforts herculéens pour effectuer une traversée de l'Atlantique à la rame.
Mouillage Freeman bay - English Harbour - Antigua
23/02/16
English Harbour est un point d'entrée agréable à Antigua. L'entrée reste difficile à voir du large, mais heureusement, les mâts des yachts amarrés au Nelson Dockyard sont visibles de très très loin.
Nous avons mouillé juste après l'entrée dans la Freeman bay, comme la plupart des voiliers de plaisance, devant une belle plage où l'on peut se baigner.
Mouillage dans 3/5m sur fond de sable/herbe. Attention à l'évitage car le vent ne cesse de tourner dans cette baie. A plusieurs moments, on peut être dans un sens et le bateau d'à côté dans l'autre. Tout le monde se retrouve donc à un moment donné à moins de 2m de ses voisins. Pare battages obligatoires.
Formalités sur le dock faites rapidement, surtout si vous les préparez avant sur le site eseaclear.
Plusieurs restaurants sont disponibles sur le quai mais ils sont remplis de touristes américains. Il faudra aller à pied vers Falmouth harbour pour trouver des lieux plus typiques.
Un nouveau ship vient d'ouvrir sur le ponton d'essence.
Attention, vu les bateaux qui sont amarrés aux quais, tout est très cher ici et se paie en dollars US.
Nous avons mouillé juste après l'entrée dans la Freeman bay, comme la plupart des voiliers de plaisance, devant une belle plage où l'on peut se baigner.
Mouillage dans 3/5m sur fond de sable/herbe. Attention à l'évitage car le vent ne cesse de tourner dans cette baie. A plusieurs moments, on peut être dans un sens et le bateau d'à côté dans l'autre. Tout le monde se retrouve donc à un moment donné à moins de 2m de ses voisins. Pare battages obligatoires.
Formalités sur le dock faites rapidement, surtout si vous les préparez avant sur le site eseaclear.
Plusieurs restaurants sont disponibles sur le quai mais ils sont remplis de touristes américains. Il faudra aller à pied vers Falmouth harbour pour trouver des lieux plus typiques.
Un nouveau ship vient d'ouvrir sur le ponton d'essence.
Attention, vu les bateaux qui sont amarrés aux quais, tout est très cher ici et se paie en dollars US.